Avec le nouveau métal de fabrication de vinyle provenant du remaster haute définition de 2018, la véritable profondeur expansive de ce chef-d'œuvre emblématique a été méticuleusement dévoilée, révélant une toute nouvelle expérience d'écoute. L'ingénieur de mastering Howard Givens a utilisé une large gamme d'outils analogiques et numériques et sa passion pour cette œuvre phare pour restaurer la nature sonore originale et l'intention visionnaire, emmenant l'auditeur plus profondément dans le temps du rêve. Stephen Hill, Radio Cœurs de l'Espace Musicalement, Dreamtime Return mérite largement son statut de classique, mais Roach mérite également le mérite d'avoir conduit les musiciens électroniques hors de leurs studios protégés et dans une relation active avec le paysage, le monde au sens large et une histoire culturelle profonde. Le genre dans son ensemble est plus fort et plus pertinent pour son exemple. Gianluigi Gasparetti, Deep Listenings, août 2005 : Autour de chaque chef-d’œuvre se trouve une énergie mystérieuse et indéchiffrable, un souffle divin qui souffle. Des œuvres comme Dreamtime Return changent le cours de l’histoire et accomplissent un prodigieux bond en avant. C'est un enregistrement qui a inspiré toute une génération de musiciens et qui renferme en deux heures d'étonnantes intuitions artistiques, point de départ de toutes les musiques ésotériques et tribales produites aujourd'hui. Les drones du didgeridoo, les tambours de cérémonie, les ambiances extraterrestres, les voix du passé, les silences éternels, les atmosphères tribales, la dilatation du temps et la sculpture de l'espace ont créé le genre tribal-ambient, dont Roach était le premier techno-chaman. Le disque peut être considéré comme la bande originale d'une aventure à la limite du temps, une expérience qui a profondément et indélébile marqué Roach, dont la vie à partir de ce moment ne sera plus la même. La chaîne est ouverte. Extrait du livre de Tom Moon, 1 000 enregistrements à écouter avant de mourir Le double disque de Steve Roach de 1988, inspiré par des visites dans l'arrière-pays australien et le concept aborigène du « temps de rêve », emprunte des chemins moins attendus, avec des textures lentes attirant les auditeurs dans des évocations de rituels tribaux. Dans la mythologie autochtone, le « temps de rêve » fait référence à un état d'être dans lequel le passé, le présent et le futur sont vécus simultanément. Les contes de Dreamtime Return abordent l'origine de la Terre et le rôle des humains dans celle-ci (les peuples autochtones croient que chaque événement humain laisse une « trace » sur la terre). Inspiré par ces histoires, Roach a utilisé une combinaison de synthétiseurs et d'instruments anciens, notamment le tambour dumbek et le didgeridoo (cet instrument à vent bicolore originaire d'Australie, joué ici par David Hudson), pour créer des atmosphères changeantes et en constante évolution. . Dreamtime Return fait partie d'une poignée d'œuvres pionnières de ce que l'on appelle parfois « Ethno-Ambient », bien que ses rythmes soient plus agressifs que la plupart des musiques portant cette étiquette. Passant de rythmes solennels et cérémoniaux à des explorations sans amarrage et sans temps, Roach disperse les tons et les couleurs dans des tableaux brillants et les fait évoluer, très lentement, dans un majestueux voyage au long cours. Ce n’est peut-être qu’une simulation du temps de rêve, mais c’est tout de même éblouissant et hypnotique. John Diliberto, Echoes Radio : Dreamtime Return est plus qu’un enregistrement fondateur qui a influencé toute une génération de musiciens. C'est un portail vers un univers où les conceptions technologiques fusionnent au plus profond des humeurs primordiales. Roach a trouvé le lien entre les grognements primitifs du didgeridoo et les drones du synthétiseur et les a orchestrés dans cet opus techno-tribal. Lorsque vous criez au bout du monde, Dreamtime Return est l'écho qui vous rappelle. Linda Kohanov, CD Review (extrait), août 1989 Steve Roach démontre que le plus grand potentiel de la musique électronique réside peut-être dans la mise en lumière de nos rêves les plus insaisissables et de nos souvenirs anciens à travers des paysages sonores puissants et très imaginatifs. En plus des harmonies et des rythmes atmosphériques qui vous engloutissent littéralement pendant deux heures, le style convaincant de l'artiste réside dans son étrange capacité à créer l'illusion d'un temps suspendu. Des accords modifiés qui respirent très lentement, des textures flottantes, des timbres autochtones échantillonnés numériquement et des effets spéciaux saisissants vous guident à travers un labyrinthe de dimensions sonores qui se déroule doucement et qui dépeignent un sentiment de mystère et de confrontation avec l'inconnu. L’effet est fascinant, de plus en plus introspectif, mais curieusement réconfortant, comme si la sagesse primitive et le lien renouvelé avec la nature véhiculés par cette musique étaient quelque chose dont vous aviez toujours envie. C'est sans aucun doute le chef-d'œuvre de Steve Roach." Précommandez ici 29,99 £ Sortie le 6 septembre

Embarquez pour un voyage fascinant avec le troisième et dernier chapitre de la trilogie très acclamée de Steve Kilbey et Martin Kennedy. S'appuyant sur le succès de Jupiter 13 (2021) et The Strange Life of Persephone Nimbus (2022), leur dernière épopée, « Premonition K », dévoile un paysage sonore somptueux et organique, plongeant dans les royaumes sombres et énigmatiques qui existent entre les frontières. de la vie et de la mort. Cet album, témoignage de leur synergie musicale, résume un paysage sonore d'une beauté sombre, s'inspirant de diverses sources, allant des tons envoûtants du Final Cut de Roger Waters aux profondeurs sombres explorées par Black Sabbath du début des années 1970. Il s'agit d'une précommande et devrait arriver d'ici le 26 avril. Strictement 1 par client seulement. Précommande - CD 11,99 £ Précommande - Vinyle Orange 24,99 £ Le numérique ici - Prémonition K

Suivant le thème de The Hypnogogue, acclamé par la critique l'année dernière. 15 nouvelles chansons continuent l'histoire.

Une autre superbe sortie de musique spatiale de Jeff Pierceaux États-Unis. Avis sur Bandcamp... C'est toujours un bon jour quand Jeff sort de la nouvelle musique. Jeff, c'est une superbe nouvelle version qui nous rappelle toutes les histoires inspirantes derrière vos chansons. Merci d'avoir partagé vos compositions honnêtes avec le monde. Que Dieu vous bénisse 🙏 Chanson préférée : Sur la nostalgie et au revoir. J'aime davantage la musique de guitare ambiante, certaines de mes préférées sont les œuvres de Jeff. Chanson préférée : Seules les étoiles restent. Excellente version, Jeff ! C'est toujours excitant de voir une nouvelle version de soi-même. J'apprécie également toutes les histoires derrière les pièces. Chanson préférée : Seules les étoiles restent. Salut Jeff, ta musique est incroyable, je te suis depuis longtemps et je n'arrêterai jamais d'espérer qu'un jour tu joueras en live à Norwich, au Royaume-Uni (je peux toujours rêver) que tu vas bien et que tu n'arrêteras jamais de produire une si bonne musique à travers les époques. " Le meilleur Russell.

This enhanced CD contains 68 minutes of new music by David Wright. And it includes the Matt Howarth sci-fi novella ‘The Lost Colony’ available as a pdf file. David Wright’s unique style is perfect for this project because it helps capture the journey so vividly presented by Matt Howarth sci-fi novell. And because the adventure on the desert world is so expertly crafted by Matt Howarth, David Wright’s music is an interpretation not a soundtrack. So we are confident that you will enjoy both, because they work so well together. “A colony ship landed on their target world but find it is not what they were led to expect. So life is a harsh struggle, a seemingly losing battle against the local environment. Because a glimmer of salvation arises, the colonists must overcome fatalism and so fight to support hope of survival”. For more details of Matt Howarth’s works, please visit his website at www.matthowarth.com

French atmospheric rockers Klone have built their name on making music that’s as deeply introspective as it is sonically powerful. Known for their trademark dark guitar tones and epic brooding soundscapes, the band signed with Kscope in 2019 before releasing their first album with the label, Le Grand Voyage, that same year to critical praise. Now, for the first time in the band's career, Klone are releasing a live album. Recorded between two different shows at Sjiwa in Baarlo, The Netherlands in October 2016 and at Moloco in Audincourt, France in November 2019 respectively, Alive captures the true essence of Klone and includes stunning performances of the singles `Yonder' and 'Breach’. Engineered by the band’s live sound engineer Chris Edrich and Mastered by Pierrick Noel, the band describe the moment as “a way to pay tribute to our audience and the people who support us.” As we await live music to return on a large scale, this is a timely reminder of what a superb live band Klone are. Featuring recordings which represent the band’s most popular material whilst giving testimony to the shows recorded during the period between 2015’s Here Comes The Sun and 2020’s Le Grand Voyage. Order CD £12.99 and Double Vinyl £22.99 Released 11th June.

Intrepid sonic journeymen and celebrated electronic artists, Johan Agebjörn and Mikael Ögren return with their second collaborative release Artefact on the Spotted Peccary Music label. As with their previous collaboration, We Never Came to the White Sea, which chronicled a road trip through the wooded expanse of the Russian Karelia, once part of Finland, Artefact, is an unofficial soundtrack inspired by Arthur C. Clarke’s classic novel Rendezvous with Rama, where the artists explore another wilderness: the unknowable vastness of space. Just as Clarke’s novel conjured images for Johan and Mikael, Artefact manifests images for the listener—of the wide-skied stillness of a strange planet’s surface, or of standing alone on an unexplored moon and feeling silver sand sift through your fingers. Sounds from the past three decades unite to evoke this austere future. The warm pulse of vintage synthesizers blends with the steely atmospherics and electronic sounds of a modern sci-fi soundtrack. With styles ranging from ambient to trance, Artefact also features collaborations with fellow electronic musicians Between Interval and Le Prix, as well as ethereal soprano vocals from Martina Björk. Artefact is both peaceful and propulsive, a journey through the tension and beauty of space exploration, the fear and curiosity of alien contact, the majesty of stars and the great swaths of emptiness between them.

Together on CD for the first time comes an album of Beta Consciousness tracks spanning both the Nagual 4 & 5 releases plus new tracks and bonus material. All tracks have been valve remastered for this release by Blackparticle. Expect 90 minutes of gorgeous Kosmiche / Berlin-school analogue electronica from the studio of Frank Rumpelt (aka _nyquist and also one half of 2xirtam with regular collaborator Lee Anthony Norris)

Afterworld is the 20th studio album from Australia’s masters of cosmic dream pop "All India Radio" On double CD and Vinyl Includes a beautiful dream pop version of Pink Floyd's Set the Controls for the Heart of The Sun and features guests including Canadian ambient prog-metal auteur Devin Townsend, The Triffids Graham Lee and Australian singer Sasquin. “On the stellar Afterworld, long-running and highly regarded music project All India Radio, founded by soundscape wizard Martin Kennedy (Below), casts a deeply atmospheric and mysterious spell.

I became aware of Louisa John-krol when I stocked an album by Oophoi (Gianluigi Gasparetti who sadly died some years ago) & Louisa John Krol ‎ "I Hear The Water Dreaming" on the French label Prikosnovénie. For me her voice and style is akin to Kate Bush but I'll let you make your own opinion on that. Throw in a bit of Loreena McKennitt and there you have it. Elderbrook, a double CD album, will form part of the Elderbrook Chronicles, a story over 4 books of which Elderbrook forms the musical side. Genre: Fantasy, Faery. Original release date 2017. Visit Louisa John-Krol's website for more info or her Bandcamp page for back catalouge albums. Torlan is Welsh for ‘from the riverbank’. Celebrating water magic - nymphs, nixies, nereids, mermaids, island witches - we’ve gathered songs of seas, lakes and rivers from many of our albums. Between each song is a recording of water. Listen for waterbirds, discover wetlands, dream of voyages beyond the estuary, rest by a stream, trace a forest lane in the rain … The opening track, ‘Birrarung’, is Wurundjeri for ‘river of mists and shadows’, and describes the Yarra Yarra River. Cover art is an oil painting, ‘Water Bird’, by Louisa’s mother, Belinda John, an award-winning artist in Australia. Symbolising innocence and hope, the heron unites habitat with heritage. The photographic lyric booklet, in an eco-friendly pocket within panels of recycled material, is laced with quotations of poetry from various cultures and centuries. Genre: ethereal, classical-ambient-folk, aquatic dream pop, faerie, poetic, elemental.

Kevin Kendle - DEEP SKIES LIVE - Ancestral Calling

Steve Kilbey & Martin Kennedy - Jupiter 13 Double splatter vinyl / 300 copies only worldwide. £32.99 "The Kilbey Kennedy collaboration between the church’s Steve Kilbey and All India Radio’s Martin Kennedy has yielded many wonderful tracks over the years. They return after four years with an album that comes wrapped in psychedelic prog references and takes us on epic interstellar adventures. This album shimmers with a strange beauty that’s accentuated by dark and haunting undercurrents" - theMusic.com.au "Compelling and conceptual odyssey into the vastness of deep-space sci-fi ambience, drifting along on lush synths diffusion, ponderous strings, and rippling acoustic guitar, and also vibrantly blazing away frequently with scintillating alt-rock guitar riffs" - The Big Takeover